lundi 28 février 2011

Flashback partie 2

 Du clair au sombre

Chapitre 3

Partie 2

Lundi 7 février 2011 – 22 h 30 –Washiton DC –dining-mei-n-yu, le restaurant chinois de l’hotel Willard Intercontinental.

« Melanie, vous exagérez, c’est le même discourt depuis trois semaines, alors oui vous trouvez le sujet, oui vous partez sur le terrain et oui vous rédigez l’article final et à chaque fois votre réputation est engagée ! Mais la prise de risque ne rend pas votre part de travail plus importante ou  difficile que la mienne. Alors certes dans la presse économique notre public est plus confidentiel et nos affirmation plus difficiles à infirmer, mais nos chance d’atteindre la gloire journalistique sont quasi nulles. » 

Gladys marqua une pose, avala une gorgée de saké, fusilla du regard Melanie dans sa robe noire et reprit : « Je vous rappelle que prise de risque ou pas, si je ne suis pas là vous ne pourrez même pas l’engager votre fameuse réputation. Le voilà le dicton à retenir, pas de Gladys, pas d’article… »

Melanie, accoudée à la table regardait sa jeune assistante lui parler en feignant de  porter intérêt à ses dires. C’était son petit plaisir du soir, rappeler à  l’étudiante que les journaliste économiques sont des planqués qui passe 8 heures par jour au bureau avec des horaires fixes sans prendre aucun risque, s’en mener de réelles investigations.  Voilà des jours que Gladys l’avait convaincu du contraire, mais elle ne lui avouait pas et continuait de la taquiner quotidiennement. Quand la stagiaire argumentait pour prendre la défense de son futur métier, sa timidité s’effaçait, elle devenait une femme déterminée prête à débattre à vous contredire, à vous coupez la parole. 

Ce soir Gladys était particulièrement belle. Elle était vêtue d’une robe chinoise qui lui recouvrait tout le haut des épaules pour s’arrêter à mi-cuisse. Elle avait attaché ses cheveux mi-long ce qui révélait totalement son visage d’un magnifique blanc pale, le maquillage qui lui rougissait les lèvres et les pommettes lui allait à ravir. Sa tenue mettait en valeur sa douce silhouette.  

Melanie ne quittait pas l’apprentie journaliste des yeux. Elle ne l’écoutait pas, mais la dévorait du regard. Ha Gladys ! La colère la rend tellement belle, son regard qui se fait glacial, son visage qui rosi subtilement et ses seins qui bougent au rythme de ses mouvement brusques.

« … car écoutez moi bien Melanie, ce n’est pas pour être incorrecte, vous avez bien plus d’expérience que moi et j’ai le plus grand respect pour vous mais….. »

La journaliste saisie une des mains de la stagiaire qui était posé sur la table et la regarda solennellement. Cela eu pour effet de faire taire immédiatement Gladys qui à son tour fixa sa supérieure.

Melanie prit la parole :
« Ecoutez-moi Gladys, je suis convaincu,  par vos arguments, mais aussi par vos actions, c’est grâce à vous qu’au bout de 15 ans de carrière je réalise que  ma façon de procéder ne pourrait exister sans des travailleurs de  l’ombre comme vous ! Comme dit le dicton pas de Gladys, pas d’article. »
Gladys écarquilla les yeux sous le coup de  l’étonnement. « Vous… Je vous est…. Convaincu…. Vous…. Vous avez même retenu mon petit dicton humoristique….  Dire que je me demandais si vous m’écoutiez vraiment ! »

L’étudiante dégagea sa main de l’étreinte de Melanie afin de boire une nouvelle gorgée de saké. Au moment ou elle reposa son verre la journaliste remit sa main sur la sienne et la regarda …. Amoureusement !
L’assistante sursauta et eu un mouvement de recul soudain. C’est un mélange d’étonnement et de peur que l’on pouvait lire sur le visage de la jeune fille.

Melanie prit un air désolé : « Ho Gladys, excusez moi, je croyais… enfin, je pensais que…. Ecoutez, je suis désolé, je me trompe rarement…. Je m’excuse c’est tellement gênant ! »
La journaliste était sur le point de se lever de la table mais Gladys l’arrêta : « Non ne partez pas Melanie, vous n’avez pas complètement tord… Mais vous savez, il y a Alex… »

« Votre petit ami… nous pouvons malgré tout essayé, si vous n’aimez pas, vous ne serrez pas forcé de le lui dire. »

« Melanie enfin ! » s’écria Gladys attirant l’attention des couples aux tables voisines.

Mel se réinstalla confortablement sur sa chaise. « Gladys, toutes mes remarques, sur la prise de risque,  sur l’affirmation de soi même ne sont pas valable que dans le boulot, mais dans la vie ! »

La journaliste reprit la main de la stagiaire :
«  Dans 15 ou 20 ans quand vous ferez le point sur votre existence, de quoi allez vous vous souvenir ?
 D’une enfance heureuse passez dans les beaux quartiers de L.A avec votre famille ?
D’une adolescence partagée entre vos journées au lycée et celles passées à faire du shopping avec vos amies ?  Des  trop nombreux samedi soir passée à étudier et de votre premier flirt durant les vacances d’été ?
 De Stanford  avec ces fêtes étudiantes et la rencontre d’Alex ?
De votre boulot dans un grand journal national vous laissant le temps de voir grandir des enfants qui vous ont été fait par le premier homme avec qui vous avez partagé votre lit ? »

Gladys écoutait attentivement la journaliste tout en lui caressant la main.
« Ce n’est pas juste Melanie, vous ne connaissez pas ma vie, il est trop facile de décréter que je suis une fille morne et sans fantaisies. »

La journaliste fit un sourire que lui rendit l’étudiante entre deux gorgées de saké.
« Et bien allez-y Gladys, faite quelque chose de fou ! Maintenant ! Enlevez votre culotte. »
« Pardon ! »
« Enlevez votre culotte » répéta Melanie en faisant un sourire à la jeune fille.
« Très bien » Répondit cette dernière en se levant.

La journaliste la retint par la main.
« Non pas aux toilettes, ici ! »

Gladys se rassit, scruta la salle autour d’elle pour être sur que personne ne lui prêtait attention puis fit un sourire à la journaliste. Elle passa une main sous la table et se dandina tout en continuant de lancer des sourires parfois ponctué de gloussements.

Melanie  sirotant son  verre regardait avec plaisir l’étudiante se tordant sur sa chaise, tout en lui rendant chacun de ses sourires et riant quand elle riait.
Gladys fini par s’arrêter de bouger, elle se pencha en avant comme pour ramasser quelque chose à terre puis passa sa main sous la table.
La journaliste fit de même et sentit dans sa paume un morceau d’étoffe, l’étudiante venait de lui remettre son sous vêtement.
Les yeux pétillant de malice et de bonheur la Gladys bomba le torse et fit un sourire à Melanie.


dimanche 27 février 2011

Flashback

Voici le chapitre 3 de ma petite nouvelle. Ce chapitre sera lui même posté en 4 parties. 

Du clair au sombre

Chapitre 3

Partie 1

Vendredi 7 janvier 2011 – 8 h 30 – Los Angeles Californie – Rédaction du L.A Times



« Quoi ! Non mais ça ne va pas ! Sortez ! Sortez ce building ! Une fois que vous serrez  dehors levez la tête et regardez l’inscription tout au dessus du bâtiment ! Il est écrit L.A TIMES et pas Barckley’s Bank » Hurla Johnson à l’attention de Melanie.

« Ok, patron, ok… Ecoutez c’est sur que le budget est élevé, mais depuis quand le journal n’a pas publié un article pareil ? C’est simple la dernière fois que c’est arrivé je ne travaillais pas encore là. »

Johnson  baissa la tête et la secoua lentement de droite à gauche tout en soupirant.
« Mel, vous permettez que je vous appel Mel depuis le temps que vous travaillez pour moi ? »

La journaliste se renfrogna et s’enfonça dans son siège.  « Non, je n’aime mieux pas. »

« Très bien Mel. Oui votre article est ambitieux ! Le FBI enlève des suspects sans preuve et sans mandat, les drogue et les torture afin de résoudre des affaires délicates ! Le tout bien entendu sur le territoire national  avec le soutient de la plus haute hiérarchie de l’agence et peut être même de certaine autorité politique en place ! C’est sur qu’on à pas vu ça depuis un bout de temps ! »

« J’ai tout les éléments patron, j’ai les noms, je sais ou ce trouve tous les documents, je me suis même rendu dans les lieux ou les suspects son torturés. Mais maintenant il me faut les preuves, quand l’article va sortir l’agence va faire le grand ménage et m’accuser de diffamation. J’aurais besoins de prouver ce qui est dit dans mon article.  Je dois faire sortir toutes les preuves écrites des bureaux du FBI, je doit enregistrer les aveux en caméra caché et je dois à nouveau pénétrer dans les salles de tortures pour les photographier. » 

«  Je m’en rends bien compte Mel, mais vous vous rendez compte de ce que vous me demandez de financer ! Vous faites du journalisme ou vous tournez le prochains James Bond ? Vous croyez tout de même pas que je vais vous payer une montre dans laquel est cachée un micro ? Et un  caméraman ! Non mais on fait de la presse écrite Mel ! »

« Patron, pour avoir les aveux en caméra caché, il me faut du matériel et l’aide d’un spécialise ! »

« D’un spécialiste, un seul ? Mel vous voulez que je vous attache pendant trois semaine un avocat, un comptable et une secrétaire ! »

« Ecoutez, quand cette article va sortir les recettes des ventes vont largement couvrir les dépenses que je vous demande d’engager ! »

« Ha oui ? Et les frais de justice ? Mel vous  avez réussi à vous faire passez pour une nouvelle aide administrative au seins des bureaux du FBI ! Vous vous êtes présenté là-bas avec une fausse identité et vous leur avez dérobé des documents et des informations confidentielles ! Quand vous allez vouloir publier l’article le gouvernement va faire pression sur les actionnaires du journal pour qu’il ne le sorte pas ! Et quand ils auront réussi ils vont vous trainer devant les tribunaux. Vous allez finir en taule ! ».

Melanie se redressa sur sa chaise.
« Mr Johnson, même si le gouvernement fait pression sur le L.A Times  c’est à coup de millions de dollars qu’ils achèteront notre silence. Mes frais seront largement couverts et le FBI vous sera peut-être même reconnaissant pour le geste fait par la rédaction ! Ce n’est pas comme si je partais à l’inconnu patron ! Je suis sur de ce que j’affirme et je sais ou allez chercher les preuves, je vous demande juste de financer ! »

« Rhaaaaa » tout en grognant Johnson tapa avec force du plat de sa main sur son bureau.

« D’accord, d’accord, vous vous chargez de trouver le caméraman et le matériel audio-vidéo, le journal remboursera la note. Par contre, pour ce qui est de l’assistance nécessaire pour  décortiquer les documents  d’un point de vue comptable et juridique, je vais vous affecter une stagiaire ! »

« Patron ! » s’écria Melanie

« Ha, non pas de protestation, Mel ! Elle s’appelle Gladys Bell, elle fini son école de journalisme et elle est spécialisé dans l’investigation juridico-économique. » 

La journaliste prit un air mécontent mais garda le silence. Elle soutint pendant presque une minute le regard de Johnson sans dire un mot. Puis soudain, elle se leva et dit d’un ton enjoué :

"Bon et bien je vais faire les courses, je repasse pour poser la note et nous partons pour Washington."

Elle fit un grand sourire et détala du bureau du rédacteur en chef.

Johnson resta éberlué quelque secondes, ensuite il se détendit sur son siège passa ses mains derrières sa tête et poussa un long soupir :
«pffff ….. Quelle chieuse…… ! »

La suite dans le chapitre 3 partie 2

Ma nuit avec miss B

Salut miss B,

J’étais avec toi cette nuit, ça faisait longtemps qu’on ne c’était pas vue, c’était génial !  On a fait du shopping , et on a mangé une glace, tu sais celle avec de la chantilly et de l’ananas. On a beaucoup discuté,  on c’est remémoré le bon vieux temps, je t’ai donné des nouvelles de tout le monde puis on a parlé de nos mangas préférés.  Tu m’as félicité pour la fac et ma copine, et oui  que de chemin parcouru depuis qu’on c’est éloigné !
Ecoute ma petite miss B, je sais que lorsque vient le moment de se quitter, je me réveille avec une sensation douce amer et que mes larmes coulent durant un long moment, mais ça ne doit pas te dissuader de me rendre visite. Tu sais,  je ne t’oublie pas.  Regarde, je te rend hommage sur mon blog, oui l’endroit ou ce côtoie, photos de femmes nues, nouvelle de seconde zone et critique de webséries avec 0 budget.
Ho, un hommage comme ça, tu l’aurais adoré !
Amuse toi bien parmi les anges ma miss et n’oublie pas ta petite poison, moi je me souviendrai de toi pour l’éternité.  

vendredi 25 février 2011

Je l'ai fait !

Il est une heure du matin, je rentre chez moi et me précipite sur mon PC pour l'annoncer ! Je l'ai fait ! Est-il malsain d'écrire sur son blog que l'on vient de faire l'amour pour la première fois ? Je ne le sais pas. Le couvert de l'anonymat me donne l'envie de le dire et de le partager avec vous. Il y a encore 2 semaines, je n'aimais pas ma dulcinée, peut-être même que je la détestais ! Forcées de travailler ensemble, cela nous à rapprochées. Très vite j'ai commencé à la trouver jolie lorsqu'elle réfléchissait, puis je me suis rendu compte qu'elle était tout simplement belle en toute circonstance. J'ai découvert qu'elle était intelligente, drôle et à sa façon gentille. Aujourd'hui dans la chaleur de sa chambre, nous avons retiré nos pulls. A partir de ce moment je n'eus d'autres intérêts que d'admirer son décolleté. Cette après midi, notre travail en commun terminé c'est tout naturellement que nos lèvres se sont rencontré.
La tenir contre moi, sentir son doux parfum, lui rendre ses baisés passionnés puis très vite la déshabiller, découvrir ces exquises rondeurs, la caresser, sentir la douceur de sa peau contre la mienne, embrasser tout son corps et enfin la posséder.
Même avec ces quelques heures de recul, je pense objectivement que je viens de vivre le plus beau jour de toute mon existence.

jeudi 24 février 2011

Suicide Girls à 10 ans ! on fait le bilan

 
C'est en 2001 que le site Sucide Girls va apparaitre sur la toile. Le principe de base est simple et efficace. De jeunes filles issue de mouvement qui était il y a encore 10 ans de cela qualifié d'Underground pose nue pour des photographies. La très grande majorité des modèles sont soit : tatouées, percées, emos ou gothiques. Dans ces premières années les Sucide Girls représentent une version "féministe" des pin up que l'on peut trouver dans le magasine playboy. Les Sucide Girls ne sont pas que des femmes ultra formatées pour plaire aux lecteurs américains moyens de revues érotiques, non les suicides girls  sont des tatouées, des "scarifiées",elles ont une personnalité, et un avis quelle donne sur le site internet. D'ailleurs encore de nos jours chaque fille dispose d'un blog hébergé par le site. En cette époque les suicides girls se définissent comme une communauté lié par une culture (l'underground), un état d'esprit et une vision assez libre de la sexualité. Les Suicides Girls de l'époque prônent donc une forme de girl power bien différent de celui de leur homologue Spice Girls.  
 Les Suicide Grils tirent leur noms du fait qu'appartenir à leurs communauté s'apparentait à un suicide social, ces filles apparaissaient nue et tatoué sur le net ce qui était rappelons le bien éloigné des standard de l'époque même pour l'industrie de l'érotisme, mais surtout par contrat, elles acceptaient que leur photos ne puissent être retiré du site et ce quelque soit les raisons invoquées !

Le succès et l'évolution des mentalités et des modes aidant  devenir une Sucide Girls est devenue loin d'être aussi sucidaire. Aujourd'hui  les Suicides Girls représentent un site internet avec plus d'un million de visiteurs par semaines et des centaines de milliers d'adhérents. Mais aussi un Livre, un DVD, des documentaires et une ligne de vêtements ! Les Sucides Girls ont même fait des apparitions dans les séries Californication et CSI : Manhatan. Aujourd'hui être une Suicide Girl signifie que l'on fait partie de quelques milliers de filles (encore très majoritairement américaine) triées sur le volet qui sont de plus en plus considéré comme les standards de l'industrie de l'érotisme. En somme on atteint un état proche de la starification. ! Aujourd'hui  tenter de devenir une sucide girls veut dire se prêter à tout une série de castings très sélectifs.
Elles sont nombreuses aujourd'hui les candidates au suicide !
.
  Inutile de se mentir, les suicides girls ont remplacé auprès du grand public des standard comme  le magazine Playboy auquel elles n'étaient qu'une alternative il y a 10 ans !
Elles représentaient l'underground et quand vous appartenez à l'underground vous n'avez que deux issues être tuer par la norme, ou devenir la norme. Les suicides girls ont choisi la 2ème solution.  
Aujourd'hui quand les SG sont décriées, ce n'est pas parce qu'elle sont étranges ou différentes, mais parce que trop de filles souvent mineurs les prennent comme idoles et tentent de ce faire tatouer et percer bien trop jeune.
Sur leur site un visiteurs sur deux est une femmes ! Comme quoi les SG auront tout de même apporté une petite révolution dans les normes de l'industrie de l'érotisme. 
En attendant de découvrir le prochain mouvement underground qui chassera les Sucides Girls de leur statut de standard de l'industrie, regardons une dernière photo de ces jeunes filles. 

 
 

mercredi 23 février 2011

Bonheur et joie de vivre en toutes circonstances

Journée pourrie, je me lève à 6 h 00, je suis fatigué, je n'ai dormis que 5 heures. Je traine à me préparer, je suis en retard. Journée de travail et de révision intensive, 7 h 00 - 12 h 40 puis 13 h 15  - 19 h45. Je n'ai pas fait la moitié de ce que j'avais à faire. Je pense que je vais pas y arriver tout cela va mal ce terminer.

20 h 30, Je m'installe devant mon PC, j'ouvre 3 tables sur Full Tilt Poker, PLO 100. J'ai pas super envie de jouer, mais si je veux de l'argent, il faut le gagner, ça gave.

23 h 45 C'est pas possible, tout est réglé, j'ai coché toutes les cases oui que je pouvais trouver dans les paramètres de ce blog, mais rien n'y fait je ne suis pas référencé sur google.

0 h 45 Non définitivement, je sais pas ! j'ai tout essayé ! pas de référencement google, je suis maudite.

1 h 00  Je me lève tout à l'heure à 6 h 00. Je suis pas douché et je n'ai pas écrit une ligne pour mon blog. C'est trop rageant, rien que sur le dernier mois qui viens de s'écouler j'ai des dizaines de trucs à raconter. 

Hé, oui ! qu'est ce que je pleure alors que toutes mes copines meurent d'ennuis à longueur de journée, moi je n'ai le temps de rien ! j'ai une vie finalement passionnante, bien remplit, alors oui très (trop) souvent les journées sont longues et dures  mais parlons en de ces fameuses dernières semaines de ma vie, j'ai vue de mes yeux la ravissante Natalia traverser le chemin  vers la victoire sur un WPT Paris. Une jolie fille de la bourgeoisie parisienne ma fait un streaptease. Une amie en école d'art ma proposé de poser nue pour elle. J'ai dû abrutir ma sœurs avec de l'alcool pour qu'elle ne parte pas  en voiture en ayant trop bu. Je suis tombée amoureuse de la fille que je déteste le plus au monde. Ma sœur c'est vengée. J'organise une journée sauna ou je vais me détendre avec plein de jolies filles.

Comment est-ce que j'ose me plaindre ? je suis jeune, j'ai la santé, je croque la vie à pleine dents... Les problèmes ils finiront toujours par s'arranger et des billets avec un peu plus de consistance pour ce blog, je vais bien trouver le temps d'en rédiger.

Alors comme la jolie  Evangeline Lily (de la série Lost) nous le rappel sur cette photo, il faut savoir garder bonheur et joie de vivre en toutes circonstances.

mardi 22 février 2011

C'est beau une fille qui s'habille

Hé bien nous y voilà, le premier billet 100 % inédit du 2ème blog de ma vie, j'entends par là qui ne contient  aucun morceau reprit dans le premier blog de ma vie.
Ne nous voilons pas la face, ce blog est essentiellement constitué par des photos de jolies femmes dénudées.
Bien sur pour être désirable une femme ne doit pas obligatoirement être un mannequin ou une actrice mise en valeur par un prestigieux photographe.
Non une jolie femme reste belle dans toute les circonstances, qu'il fasse jour ou qu'il fasse nuit. Quel soit en jean basket, en robe de soirée ou nue. Quel soit célèbre ou complétement anonyme.
Bon, toi lecteur, tu as déjà deviné que si je prend le temps d'écrire de telles banalités.....
Et bien oui, c'est pour poster des photos de femmes habillés !











Vidéo pornographique, vidéo surveillance, vidéo underground, mais vidéo tourjours

 Du Clair au sombre

Chapitre 2

Les trois garçons étaient assis sur des chaises en plastiques, la petite table devant eux était recouverte de bouteilles de soda à demi vide, de chips, de bretzel, de restes de burgers et de buritos. Tout autours d'eux un amas de prise électrique, de vieux PC, des murs tapissés par des affiches de vieux films Horrifiques ou érotiques italiens sorties dans les années 70. La lumière de l'arrière boutique était de toute manière éteinte, les seuls sources d'éclairage qui filtraient étaient celle de qui passait sous le rideau donnant accès au magasin et celle qui émanait du gigantesque écran plat posé sur une étagère au coté de matériel vidéos datant d'un autre temps.
L'écran était finalement le seul centre d'attention des adolescents, devant leurs yeux défilaient le générique de fin. Voilà déjà 10 minutes que le film était terminé et que le générique défilaient, Kitchi prit donc l'initiative de se lever et d'allumer la lumière.

Soudain le plus gros des 2 spectateurs resté attablé, un latino obèse vêtu d'un large short lui descendant jusqu'aux genoux et d'un T Shirt aux couleurs criardes se leva et cria aussitôt :

« Putain, mec, c'est une tuerie, c'est une putain de mega tuerie de sa race ! Tu tues des loutres mec ! Je sais pas ou tu l'a trouvé celui là, mais t'es mon dieu mec, non t'es un dieu, non t'es LE dieu ! »

En même tant qu'il parlait le jeune homme s'inclinais devant Kitchi en signe de révérence.

« Putain, mais gueule moins fort Carlos, c'est mon boulot ici, on t'entend dans tout le quartier ! » lui répondit l'asiatique.

Le dernier comparse un blondinet vêtu d'un jean et d'un tee shirt bleu avec un dauphin se redressa à son tour vissa sa casquette sur sa tête, s'approcha de Kitchi, d'un air comploteur et lui dit à mi-voix :

« Merde Kitchi, Je ne voulais pas le croire quand je suis venue, j'ai vu la conférence de presse sur youtube en me levant hier matin. Tous les acteurs était formel, Peter Jackson n'était encore même pas sortie de l'hôpital et il n'y a pas eu la moindre scène de tourné ! Le film sortira dans un an dans le meilleur des cas, mais bordel Kitchi comment tu as choppé se divx de Bilbo ? »

Kitchi pouvait voir un mélange de passion et de crainte dans les yeux de son pote. Il s'apprêta à lui répondre quand la sonnerie de la porte d'entrée retenti.

« Putain un client, je le crois pas », bon les gars restez là et pas de bruit.

Kitchi écarta le rideau qui posait la limite entre le vidéo club et l'arrière boutique.

Derrière le morceau d'étoffe l'attendait une vision des plus inattendue, Une Femme ! Pas une fille hein, genre la copine d'un client qui entre pour l'accompagner, non, Une vrai femme, la trentaine voir plus, une magnifique brune au cheveux long, vêtu d'un jean, d'un manteau noir soigneusement boutonné qui lui descendait jusqu'à mi-cuisse, une ceinture de laine, attaché au vêtement lui entourait la taille. Kitchi aimait ces manteaux qui mettait en valeur la silhouettes des jolies femmes.

Cependant, il ne se faisait aucune illusion, cette femme ne venais pas ici à plus de 1 heure du matin pour acheter une figurine collector de Godzilla ou une authentique NTSC de canibal holocaust,, non, elle s'était trompé d'endroit ou elle voulait peut-être qu'il lui fasse de la monaie sur un billet de 100$.

Quoi qu'il en soit elle s'approcha du comptoir d'un pas sur, Kitchi senti son parfum, ho oui c'était une vrai femme , la dernière fois qu'il avait croisé une femme qui avait une odeur aussi sophistiqué, c'était la banquière qui lui avait ouvert un compte pour déposer 20 $.

« Bonsoir » dit la déesse faite femme.

« …….. Bon….. Bonsoir »

La femme regardait Kitchi d'un air curieux mais ne parlais pas. L'asiatique chercha ses mots quelques seconde et reprit la parole :

« Je peux vous aider ? »

« Oui …. » répondit la brunette qui n'ajouta pas un mot de plus.

« Heu….. Vous voulez un renseignement peut-être….. Un conseil…. »

Cette femme pourtant apparemment si sur d'elle semblait un peu gênée, elle hésitât un instant, scruta la pièce et reprit :

« Ecoutez…. Votre établissement m'a été recommandé par un amis, monsieur Slansky …. Daniel Slansky… »

C'est à ce moment que Kitchi réalisa que la femme ne s'était peut-être pas trompé d'endroit il fallait qu'il se montre à la hauteur, il fallait qu'il lui fasse grande impression. Il se redressa et répondit :

« Daniel Slansky…. Connaîs pas…. »

La beauté fatale écarquilla les yeux et scruta à nouveau la pièce quelque seconde avant de reprendre la parole d'un ton hésitant.

« Ecoutez…. IL à 30 ou peut-être 35 ans, il est toujours habillé assez bizarrement, il porte une casquette et par-dessus il met une capuche…. »

« Haaaaaa….. vous voulez parlez de ce bon vieux D ! Je suis pas intime avec lui, si vous abrégez son nom je peux pas comprendre ! Un instant madame ! »

Melanie regarda le jeune homme lui tourner le dos et tirer le rideau derrière lequel il était apparut, maintenant il hurlait :

« Carlos, Teddy ! Cassez-vous ! foutez le camps ! Bernard l'ermite de merde, ici c'est un commerce c'est pour les gens qui consomment, ça fait 4 heures que vous regardez sans payer ! »

Carlos surgit de l'arrière boutique :

« Quoi ! Mais c'est toi qui nous as invité ! »

Kitchi le prit par le bras et le tira hors du vidéo club en lui répondant :

« Je m'en fou casse toi je te dis »

Teddy plus calme prit de lui-même le chemin de la sortie, il marqua un arrêt devant la porte se retourna et s'adressa à Kitchi :

« Heu Kitchi, pour le film…. Tu sais la façon dont tu l'a eu…. »

L'asiatique saisie le boitier d'un DVD et le jeta sur son pote !

« Casse toi je te dis ! »

Teddy détalla sans faire plus d'histoire.

Melanie se tenait toujours debout de l'autre coté du comptoir, elle n'arrivait pas à cacher son étonnement.

« ….. Vous ne compter pas me mettre dehors aussi ? »

Kitchi repris son souffle.

« Ho non madame ! »

L'asiatique alla s'accouder au coin du comptoir en prenant un air aussi sur de lui que possible . Melanie ne pu réprimer un sourire devant cette scène. Elle repris facilement et rapidement son sérieux en réalisant que son interlocuteur ne comptait pas prendre la parole,. Il attendait qu'elle parle la première.

La journaliste opta pour la stratégie du silence, elle durcit son regard et dévisagea Kitchi. Plus les secondes passaient plus l'assurance de ce dernier semblait fondre comme neige au soleil, très rapidement il n'arriva plus à soutenir le regard de son interlocutrice.

C'est donc la tête baissé et l'air gêné que le jeune homme commença à parler :

« Bon…. Vous voulez achetez un Snuff movie ? »

A peine ses mots prononcé Melanie ce décomposa , elle dû ce tenir au comptoir pour être sur de ne pas défaillir. Se rendant compte de sa bourde Kitchi reprit :

« Non mais bien sur que nom c'est pour une sexe tape n'est-ce pas ?»

Aussitôt Melanie s'indigna : « Grand dieu NON ! »

Ça y est Kitchi paniquait il n'arrivait plus à tenir en place.

« Non, enfin oui… Je voulais dire vous voulez récupérer votre sexe tape ! »

Les yeux de Melanie lui lançais des éclaires, tout les traits de son visage exprimais la colère : « Mais NON ! »

« D'accord, d'accord » Hurla Kitchi les bras levé au dessus de sa tête en signe de réconciliation !

Il continua : « Ecoutez madame, même pour une cooptation de D, je ne peux pas accepter de vous vendre l'adaptation en film du Roi en Jaune, ma déontologie me l'interdit, la dernière fois que quelqu'un à fait cela, ça a provoqué les émeutes de Los Angeles ! »

En voyant les yeux ronds de Melanie, le vendeur réalisa instantanément qu'elle ne comprenais pas un mot de ce qu'il racontait.

Il poussa un soupir et décida de s'asseoir sur le comptoir.

« Ecouté madame, si vous ne me dite pas ce que vous cherchez, je ne vais pas pouvoir vous aidez. Donnez-moi au moins une indication, vous savez je peux tout entendre j'ai l'habitude. »

Melanie poussa à son tour un soupir.

« Hé, bien, je suis là à propos de Partie Fine Production… »

« Heu…. Ça fait quoi un an et demi qu'ils sont sur le marché, en plus ils font des films à succès, vous savez nous c'est plutôt les vieux collectors ou les trucs un peu underground que nous vendons. »

Melanie jetta un regard méchant en direction de Kitchi :

« Je suis journaliste, une journaliste douée et reconnu, il n'y a même pas 6 heures je ne connaissait pas l'existence de cette endroit. Mais maintenant je sais que cette établissement est lié financièrement a Gokuraku Video, une société très implanté en Asie mais interdite dans une grande partie des pays occidentaux. C''est à cause des nombreuses affaires de piratages d'œuvre vidéo à laquelle est liée. Si vous refuser de m'aider et bien dans 6 heures je remettrais un article sur ce fléau qu'est la revente de vidéo pirate et le téléchargement illégale au L.A times, je ne manquerais pas de citez votre témoignage dans l'article monsieur Anthony Yoshida. »

Kitchi resta bouche bée plusieurs seconde avant de répondre :

« Témoignage mon cul, j'ai rien dit ! »

« Quand les pontes du Gokuraku vont entendre parlé d'un article ou le vendeur d'un de leur magasin affirment distribuer des produits pirates, il ne vont pas chercher à savoir la vérité, ils vont vous virer sur le champs et pour retrouver un boulot qui vous permet de bosser le 20h00 à 4 h 00 et d'aller au lycée de 8h00 à 15h00…. »

« Mais c'est dégueulasse ! »

Mélanie ne répondit pas.

Kitchi semblait résigné. « Bon ok, c'était un peu avant, que ne sorte « Fuck babydoll, fuck them'all » le premier film de Partie Fine, Jordan Gostwood se raboule ici en personne avec son sourire ultrabright et son costar blanc. Autant vous dire qu'a l'époque ce gars était un inconnu pour les gens comme moi. C'était avant que tout les médias fasse des reportages sur lui. Donc ce gars se présente et m'explique qu'il vient de monter son petit studio de prod à Los Angeles et qu'il à besoins d'un gars comme moi pour tourner quelque vidéo et faire quelques photos. »

Kitchi jetta un regard à Melanie qui semblait boire ces paroles.

« Donc moi, je connais un peu le métier tout de même alors je lui demande pourquoi un gars qui à ses studio à L.A la ville du cinéma, viendrait chercher un petit technicien comme moi dans un vidéo club paumé au fin fond de cette ville ? Il m'a dit qu'il avait besoins de quelqu'un de discret et qui jamais ne parlerai du travail qu'il à fait pour Partie Fine Production. Donc tout de suite, ça m'a semblé normal, c'est sur que lorsqu'il faut du boulot discret de chez discret on s'adresse plutôt à des gens comme moi… » alors que Kitchi allait continuer de raconter son histoire Melanie l'interrompit.

« Comment ça on s'adresse plutôt à des gens comme vous ? Vous avez 17 ans et vous êtes lycéen ! Pourquoi seriez vous plus discret qu'un autre ? »

« Non mais je veux dire on s'adresse plutôt à des gens de l'Underground, voilà quoi. » répondit Kitchi apparemment pressé de continuer son histoire.

Melanie aquiessa d'un mouvement de tête en décidant de ne pas montrer qu'elle n'avait pas compris la réponse à sa question.

Kitchi lui reprit son récit :

« Donc le week end suivant je pose un congés et je m'envole pour L.A, direction la villa de Gostwood. Quand je suis arrivé, et bien whooo….. » Soudain Kitchi s'arrêta net dans son histoire.

« Whooo quoi ? » demanda Melanie.

Kitchi se mit à rougir et baissa un peu la tête.

« et bien a peine mis un pied dans la villa, je suis arrivé dans une pièce remplit de filles nues, Elles étaient affalées dans les canapés et avait l'air d'être complètement droguées. Toutes celles qui comptent désormaient parmi les actrices fétiches de Partie Fine Production, je les ai vue là-bas ! Et … et j'ai fait mon boulot…. Gostwood m'a dit de profiter de leur état pour tourner des cours métrages qui fasse film amateur, vous voyez quoi genre le petit amis ou des copains – copines qui profite du fait que la fille soit bourrer pour filmer. De plus il m'a fait faire quelque photo. Et voilà… »

« Voilà quoi ? » Interrogea Melanie.

« Et bien j'ai prit mon argent et j'ai quitté L.A. Je n'ai plus jamais entendu parler de mon travail jusqu'à ce que mes vidéos et photo commences à « popper » comme des champignons dans les tabloids, à la TV ou sur internet. Ça a refait surface au moment ou les médias ont commencé à attaquer Gostwood sur le fait qu'il était impossible d'obtenir la moindre information sur ces actrices, ils insinuaient que les filles étaient sûrement de pauvre orpheline enlevé dans un lointain pays pauvre ! En gros des étrangères qui travail illégalement sans permis. Je pense que Gostwood avait espoir de construire un passé à ces filles avec ces vidéos et ces photos, mais apparemment ça ne marche que moyennement. »

« c'est tout ? » demanda Melanie.

« C'est tout. » répondit Kitchi honteux.

« Daniel… enfin je veux dire D m'a affirmé qu'en réalité Gostwood possédait des studios dans cette ville et tournais ses films ici dans le plus grand secret. »

« Quoi, ! Le salaud ! Il me fait tourner des vidéos amateurs pourries et quand il s'installe dans la ville, il ne me le dit même pas ! ».

« Kitchi écoutez…. D m'a laissé entendre que c'est en venant ici que mon enquête sur Partie Fine Production pourraient avancer. »

Kitchi poussa un soupir et essuya son front d'un revers de la main.

« Bon, on peut toujours essayer de trouver ses studios, attendez.»

Kitchi se précipita derrière le comptoir, prit une zapette et appuya sur les boutons de l'appareil en le pointant sur chacun des écrans qui se trouvait dans le Vidéo Club.

A chaque fois que le lycéen répétait l'opération les films diffusées sur les écrans se stoppait net pour laisser place à l'image d' immenses hangars. Ce n'est qu'au moment ou des hangars se trouvaient sur tous les écrans du vidéo club que la journaliste compris ce qu'elle avait devant les yeux, il s'agissait tout simplement de tout les lieux à la périphérie de la ville susceptible d'abriter des studios de tournage ! Et chacun de ces endroits était filmé par une caméra de vidéo surveillance !

Avant que Melanie ne puisse poser la moindre question elle remarqua de l'activité devant l'un des édifices.

« Kitchi, ! Kitchi !, regardez, ici, il y a du monde, devant la porte, vous pouvez agrandir ? »

Sans que son interlocuteur fasse le moindre geste l'image intéressant la journaliste s'afficha sur tout les moniteurs du magasin et comme par enchantement un zoom s'effectua sur les mystérieux visiteurs nocturne.

Il s'agissait de Jordan Gostwood ! Impossible de se tromper c'était bien lui, il était accompagné par une séduisante femme blonde vêtue d'un tailleur noir.

Soudain l'image se troubla, c'était comme si le hangar auquel le producteur et la mystérieuse femme faisait face se coupait en deux. Entre les deux parties du hangar, il y avait une sorte de passage dans lequel Jordan et la blonde s'engouffrèrent, mais avant de disparaître dans le passage Gostwood se retourna, un zoom s'effectua sur son visage, il n'était pas comme à la télé, il avait quelque chose de terrifiant…. De …. De démoniaque ! Mais, c'est elle qu'il regardait ! le producteur la voyait !, Où qu'elle tourne les yeux, elle ne pouvait échapper à son regard perçant affiché sur tout les écrans ! L'éclairage autour d'elle n'était plus le même, c'est dans une lumière bleuté que baignait la pièce ! Un rire a la fois lointain mais aussi inhumain et bestial résonnait. Melanie sentie des mains qui tendait de l'attirer vers les écrans, elle se mit à résister de toute ses forces et a crier. Soudain elle se sentit attirer par un bras puissant et hurla de plus belle.

Elle faisait maintenant face à Kitchi, ! Autour d'elle tout les moniteur était maintenant éteint, l'éclairage était redevenu normal et tout était calme.

Melanie ne pus empêcher des larmes de couler le long de ses joues. Elle se mit même à sangloter. Kitchi semblait désemparé, il se tenait à ses cotés sans rien dire.

La journaliste essuya ses larmes se força à reprendre ses esprits et regarda le jeune asiatique.

« Kitchi… Cet endroit … »

« C'est un entrepôt désaffecté à la périphérie de la ville, je vais vous donnez l'adresse, mais sachez que le lieu est certainement surveillé. Même si vous pouvez l'atteindre, vous ne pourrez pas emprunter le même passage que Goastwood sans la clé. »

« La clé ? »

« Je suppose que vous voulez allez au bout de cette affaire ? Vous voulez percer le mystère de ces actrices ? Vous voulez allez voir cette entrepôt ? Alors il vous faut la clé. »

Mélanie perdait pied

« Mais qui êtes vous tous ? Qu'est ce que vous m'avez fait ? C'est quoi tout ça ? »

Le jeune homme prit un air désolé.

« Ecouté moi bien madame, je ne peux pas répondre à toute vos questions, maintenant. Vous êtes fatiguées, moi aussi et on approche de l'heure ou mon patron peut venir faire son inspection surprise. Vous aurez tout loisir de me reparlez, de toute façon vous connaissez mon identité, mon lieu de travail et comme vous le dite je ne suis qu'un lycéen, je ne vais donc pas pouvoir m'enfuir bien loin, si toutefois l'envie m'en prenait. Pour ce qui est de la clé à ma connaissance un seul homme peut vous la fournir, il s'agit d'un homme connu sous le nom de Mont-De-Piété. Mais faite très attention, il n'est pas comme moi, pour Mont-De-Piété tous se paye et tout se paye cash. Lui personne ne le fait chanter, personne ! »

Mélanie regarda Kitchi

« Je vais me reposer et je reviens vous chercher à la fin de votre boulot, vous m'expliquerez tout et nous irons voir cette homme ensemble. »


Kitchi eu un mouvement de recul.

« Non, je suis désolé mais non…. J'ai peur de Mont-De-Piété ! De plus si vous voulez le voir le temps vous est compté ! A 4 h 30 du matin dans la station de métro située à l'angle de Nixon et de Wendon Street va passer un train sur lequel est inscrit le mot LOOOP, vous devez emprunter ce métro jusqu'au terminus là-bas Mont-De -Piété vous attendra. »

Pour la première fois de sa vie Melanie ne se posait pas de question, elle n'éprouvait plus qu'un sentiment de vide et de fatigue. Elle allait partir et c'est tout. Déjà elle reculait afin de s'éloigner de Kitchi sans lui tourner le dos quand elle fut proche de la porte, elle l'ouvrit et partie en titubant.

Kitchi lui restait seul sans mot dire, ce n'est que quelque minute plus tard qu'il réalisa.

« Non de dieu, elle y comprend rien, elle ne connais rien de l'Underground et moi je l'ai envoyé voir Mont-De-Piété…. »


A suivre dans le chapitre 3
Pour vous faire patienter jusqu'au prochain chapitre Partie Fine Production est heureuse de vous proposez un extrais de son book nommée du clair au sombre. Ce recueil comprendras des photos inédites des actrices qui ont fait le succès de notre compagnie.

Amicalement
Jordan Gostwood.
Ling-Ling la 2ème actrice à avoir intégrer notre société célèbre pour avoir tourné dans ce soir les petites chinoises reçoivent.


Les triplettes du Wisconsin elles ont intégrés Partie fine Production à l'occasion du film, Linlin in USA

Grace Park, le club des actrices transparentes

Penchons nous sur le cas de l'actrice du jour, Grace Park. 

Cette actrice de 37 ans à commencée à ce faire connaitre grâce au personnage de Shannon sg un personnage récurrent de la série Edgemememont. Mais son plus grand rôle celui qui à mon avis là fait connaitre du grand publique est celui de Sharon Valerii dans la série Battle Star Galactica.
Depuis la fin de la série en 2009 et bien.... Et bien plus rien, cette chère Grace à bien fait quelque apparition dans le domaine du jeu vidéo et devrait figurer prochainement dans quelque film, mais rien de notable.
Et bien quelle actrice, un rôle dans une série quasiment inconnu hors des USA et un autre dans une série pour geek qui n'est passé que sur des chaines cablées et ce quelque soit le pays de diffusion.
Et oui encore une qui va rejoindre ce que j'appelle le club des actrices transparentes au coté de Jennifer Aniston et Jessica Alba.
Mais seulement voilà elle aussi je lui consacre un petit billet et pourquoi, et bien tout simplement parce que souvent je rêve de la rejoindre devant ce bon feu de bois, de m'allonger à ces cotés et de lui croquer les fesses.












Juste un peu de magie

Pour les nouveaux (ceux qui n'ont pas connu mon premier blog) et bien vous allez découvrir le premier chapitre d'une  nouvelle dont j'avais déjà "publié en ligne" deux parties. Pour ceux qui redécouvrirait, je n'est pas remis les photos bonus qui sont un peu fastidieuse à récupérer. Les prochains chapitres (les inédits) auront peut-être leur lot de bonus photos. N'hésitez pas à laisser des commentaires ou des critiques.

Du claire au sombre
Chapitre 1

Juste un peu de magie



Mélanie entra dans le bar d'un pas pressé, elle était en retard, pourtant aussitôt son avion atterri elle s'était précipité à son hôtel pour poser ses bagages et avait sauté dans le premier taxi pour être à l'heure au rendez-vous. 19 h 30 au Uncle Murby Bar's, et bien voilà pile à l'heure.

Mélanie scrutât la salle afin de trouver la personne quelle devait rencontrer. Finalement elle était dans un bar tout ce qu'il y a de plus classique. Au fond un grand comptoir derrière lequel s'activait des serveuses, toutes costumées au couleur de l'établissement. A l'opposé près des baies vitrées donnant sur la rue se trouve une série de table toutes occupées par des badots avalant un steack, une part de tarte ou parfois un donuts avec une tasse de café.
A la dernière table tout à gauche de Mélanie, un homme faisait de grand signe très certainement pour lui indiquer de venir vers lui.

« Ho non ! » se dit intérieurement la journaliste. "Mais qu'est ce que c'est que ce type encore ?"

L'homme portait un sweet shirt avec une capuche rabattu sur sa tête , la visière d'une casquette dépassait de la dite capuche, impossible de distinguer son visage.
Mélanie se dirigeât vers la table, la tête basse comme pour caché la honte qu'elle avait d'aller s'asseoir à la table de cet individu à l'allure si singulière.

Elle s'installa donc face à son interlocuteur et lui tendit la main en lui disant

"bonsoir, Melanie Winter."

L'homme serra vigoureusement la main de Mélanie l :

"Madame" en essayant de prendre un accent français qui au final fut ridicule « Je suis Daniel Slansky, mais appelez-moi Dany ou Dan vous pouvez même m'appeler D si vous le désirez ».

« Très bien Daniel, si nous commencions par commander quelque chose ? »

« Vous avez raison madame, je m'en occupe. »

Daniel se redressa et hurla en direction du comptoir :

Henrieta ! Hé Henrieta, tu nous fais des oeufs et avec ça tu nous sert du café et de la tarte ! Attention pas la tarte habituel, aujourd'hui je suis avec une dame, tu nous sert celle à la poire !"

Melanie cacha ses yeux derrière sa main et poussa un soupir discret. Elle se redressa et regarda à nouveau Daniel qui c'était remis en position assise.

"Daniel, rentrons dans le vif du sujet, vous savez pourquoi je suis ici. Hé bien allons-y, je vous écoute ?"

Dan redressa la tête ce qui permis à Melanie d'apercevoir son visage, Daniel devais avoir une trentaine d'année « tout comme moi » se dit la journaliste.

"Madame, je voudrais que vous me rappeliez pourquoi vous vouliez me parler ? »

"Hmm, méfiant ! "ce dit Melanie intérieurement « Il est peut-être plus intéressant qu'il en à l'air. »

« Très bien Daniel, je suis Melanie Winter, Journaliste au L.A Times, j'enquête sur la société Partie Fine Production et si je suis ici c'est parce que j'ai rendez-vous avec un certain monsieur Slansky qui doit me donner des informations utiles pour écrire un article. »

Au moment où elle termina sa phrase, Henrieta une serveuse obèse posa les oeufs et les cafés sur la table avant de se retirer.

Daniel reprit la parole.

« Très bien parlons de Partie Fine Production, vous n'êtes pas sans savoir que cette société spécialisé dans la production de film Pornographique à été fondée il y a un peu plus d'un an par Jordan Gostwood. Chacun des films produit par "Partie Fine" à été un succès sans précédent dans l'industrie de la pornographie. La société ne c'est pas contenté de s'attaquer au marché existant, elle à réalisé l'exploit de conquérir un nouveau public peux coutumier de ce genre de film. Ce succès a fini par être considéré par la presse généraliste du pays comme un phénomène de société. A force de s'intéresser au sujet, les médias ont fini par réaliser que les jeunes actrices jusqu'ici inconnues n'ont tous simplement pas d'existence . A ce jour aucun journaliste n'a réussi à avoir la moindre information sur ces femmes, on ne connaît d'elles que leur nom de scène, mais rien d'autre, pas d'âge, de ville, de pays d'origine ou de famille, rien ! Et vous madame, vous venez me voir car vous espérez que je vais vous permettre d'être la première à lever le mystère sur ces nymphettes ! »

« Très juste !" Repris Melanie "Mais vous ne m'apprenez rien jusqu'ici ! »

« Ne vous inquiété pas madame, tout vient a point à qui sait attendre. Mais tout d'abord piquez vous le doit et mettez du sang dans vos œufs sur le plat. »

« Pardon ! »

« Tenez prenez cette aiguille si vous voulez » tout en parlant Daniel tendit une Aiguille à Melanie.

« Mais pourquoi voulez vous que je fasse une chose pareil ? »

« Ne discutez pas si vous voulez que je vous donne les informations pour lesquelles vous êtes venues, faite-le, sinon je part ».
Mélanie prit un air contrit, mais saisie l'aiguille et se piqua le doigt avant de répandre plusieurs goutte de sang sur les œufs encore chaud.

"Voilà, maintenant racontez moi quelque chose que je ne sache pas déjà !" dit la journaliste d'un ton sec.

Daniel toussota comme pour s'éclaircir la voie
"Hé bien voilà, afin d'assurer le succès que l'on connaît à ces films, Jordan GoastWood à simplement usée d'un peu de magie !"

Melanie faillit s'étouffer avec la gorgée de café qu'elle était entrain d'avaler.

"Quoi ! vous m'avez fait faire le voyage jusqu'ici pour me dire ça ! Espèce de malade !"

Daniel leva sa main la paume face à Melanie pour lui intimer l'ordre de garder son calme.

"Vous pensez à Grany, Madame, vous pensez souvent à elle n'est-ce pas ? c'est surement la seule personne à laquelle vous arrivez à penser alors que vous êtes plongée dans le boulot."

"Hein ! Ma grand mère.... Heu oui... Quand vous avez parlez de tarte ça ma fait pensez à celle qu'elle me faisait... Mais comment vous savez ça ?"

"Juste un peu de magie Madame" Répondit Daniel en pointant du doigt les œufs de Melanie.

Quand cette dernière posa les yeux sur son assiette, elle réalisa que les gouttes de sang qu'elle avait déposé c'étaient répandu sur la nourriture et que le liquide rouge formait le nom "GRANY" .

« Ho mon dieu » murmura Melanie.
« Mais comment est-ce possible ? Comment vous avez fait ça ? » dit la jeune femme d'un ton presque paniqué.


« Je vous ai déjà répondu madame. Ecoutez moi, si je vous ai donné rendez-vous ici, c'est parce que c'est dans cette ville que se trouve les studios de tournages de Partie Fine Production »

« Quoi, qu'est ce que vous dite, il est de notoriété publique que leur studio sont à Los Angeles ! »

« Non les studios de Los Angeles, ne sont qu'une façade, une couverture, tous les films de Gostwood sont tourné dans le plus grand secret dans cette ville. Si vous voulez en savoir plus rendez vous à l'adresse indiquée ici »

Daniel mit dans la main de Melanie un papier froissé avant de se lever et de quitter précipitamment le bar en heurtant maladroitement les tables.

La journaliste mit quelque secondes à rassembler ces esprits, le temps qu'elle se décide à sortir elle aussi pour rattraper Daniel, ce dernier avait déjà disparut. Mélanie regarda le papier resté dans sa main. Il s'agissait d'un flyer pour le Vidéo Star, un vidéo club. Si l'on en croyait l'adresse situé sur la brochure, il était situé dans le même quartier de la ville que celui ou elle se trouvait.


A suivre dans le chapitre 2....

Jessica, Jessica, Ha jessica

Aujourd'hui je pense à Jessica Alba, oui c'est quand on décide de tenir un blog basé sur nos pensées du moment qu'on se rend compte que les dites pensées sont ...... biggrin.gif 

Jessica Alba fait partie de ces actrices Holywoodiennes devenu célèbre sans avoir pourtant tournée dans des films à grand succès. 

Le début de carrière de Jessica Alba comme celui de toute actrice de Losangeles commence par de petit rôles dans des sitcoms ou des séries réservées aux réseaux de syndication. 
En obtenant le rôle de Max Guevara dans la série Dark Angel elle va obtenir la reconnaissance indispensable pour devenir une actrice Star. Entendez par Star une actrice qui peut tourner toute l'année en encaissant des cachets d'un ma foi fort beau gabarit. 
Finalement pour l'instant la carrière de Jessica Alba se résume à une série à succès qui n'aura durée que 2 saisons en raison des problèmes de programmation que connaissait la fox à l'époque, puis à une série de films que je qualifierai de 
... hmmmm, voyons voir.... à oui de grosses daubes (Bleu d'enfer, fantastic 4, Sin City, Honey.....)

Alors pourquoi parler de cette actrice californienne si je la trouve si insipide me direz-vous ? Et bien parce que tout comme Jennifer Aniston la belle ne se déshabille pas si facilement (pour une actrice). Elle fait inscrire une clause de non-nudité dans tous ces contrats de film, lorsque qu'on l'interroge sur le sujet elle répond : 
« Je ne fais pas de nudité. C'est ainsi. Cela fait peut-être de moi une mauvaise actrice. Je ne décrocherai peut-être pas certains rôles à cause de cela, mais je ressens trop d'appréhension. »

Comme vous connaissez désormais mon intérêts pour les quelques photos déshabillées que l'on peut trouver de ce type d'actrice et bien vous aurez compris que si je vous parle de cette brave Jessica c'est pour poster ici une 

photo d'elle à poil.



Chère visiteur bienvenu

Non je ne radote pas, ce n'est pas à vous potentiel visiteur que je souhaite la bienvenue pour la deuxième fois en deux billets. Non c'est à lui que je parle.




Si je parle de cette série ici, c'est parce qu'à mon grand étonnement elle reste encore assez mal connu du public, je ne parle pas seulement du grand public, mais aussi des fan de série TV ou de SF.

Raph et ses deux potes glandent dans un parc quand soudain surgit de nulle part apparait le visiteur du futur. Le croisement parfais entre le savant fou, et un SDF sous amphètes. Cet espèce d'allumé va expliquer à notre héros comment un seul de ces gestes qui semble pourtant anodin peut provoquer dans le futur une catastrophe planétaire.

Voilà le pitch du premier épisode, mais les choses ne vont pas en rester là, en effet notre Raph national est un véritable fléau pour la survie de l'espèce humaine. Pas un épisode ne va passer sans que le visiteur ne soit obliger d'intervenir pour sauver l'avenir d'une action malencontreuse du gamin. Mais bon, il n'y peut rien le pauvre Raphi comment peut-il s'attendre à ruiner l'économie mondial en mangeant une pizza ou à créer un régime faciste en draguant une fille ?

Et je ne vous parle pas du plus grave, car en avançant dans l'intrique de la série nous allons découvrir quel sont les véritables motivation qui pousse le visiteur du futur à s'intéresser au héros, et nous allons entrevoir ce qu'est réellement le futur.

A l'instar de la série Kaamelot à ces débuts, nous sommes donc sur un format d'épisode très court assez indépendant les un des autres et à vocation comique. Cependant les premiers épisodes du Visiteur du futur sont basés sur un gag récurent : Raph va effectuer un action plus que banal (manger, téléphoner....) quant apparait le visiteur survolté qui lui explique en quoi ce qu'il fait va assombrir considérablement l'avenir.

Dans la 2ème partie de la première saison une intrigue général va se dessiner, fini les épisodes one shot, de plus on constate l'apparition d'autres personnages récurent que le héros et le visiteurs.

Pour moi cette série qui affiche pourtant clairement un 0 budget représente l'avenir en matière de série TV. Comme dans le cinéma d'horreur de la fin des années 70, c'est de la sueur et surtout une grande passion qui émane de l'œuvre, j'ai dévoré les 22 (trops courts) épisode de la première saison avec autant de passion que je l'aurais fait pour la première saison de Heroes, Lost ou autres Véronica Mars. Cette petite série à tout d'une grande, de bons acteurs, des personnages hauts en couleur et une intrigue générale qui tiens bien la route.

Pourtant nous somme en présence d'une Web Série disponible gratuitement ici : Saison 1 et 2 du visiteur du futur

J'avoue que je suis fan de se mode de distribution pas d'horaire, pas un sous à payer, pas besoins de télécharger quoi que ce soit illégalement.

Que vous dire de plus, si ce n'est vous conseiller d'aller voir ce que nous réserve le futur en cliquant sur le lien plus haut. Bon visionnage et dite moi ce que vous avez pensé de la série. 
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Le premier message du deuxième blog de ma vie

Il est environ minuit, mes yeux ne quitte pas l'écran de mon PC. Quatre table sont ouverte sur Full Tilt Poker. Je joue contre la plus grande buse qui soit en Pot Limit Omaha 50. ça fait des heures que l'on bataille, mais il est en chance, je lui prend de l'argent, mais il m'en reprend beaucoup lui aussi. Whooo, il commence à y avoir un peu de monnaie en jeu, a peu près 1250 € réparti sur 4 tables. Pas question de partir maintenant, je suis perdante d'une centaine d'euros et je dois pouvoir récupérer mon argent, je joue mieux que lui !
Pfff, j'suis fatigué, mes examens commence mercredi, j'ai pas bossé, ça m'inquiète, et il faut que je continue d'écrire ma nouvelle. Ho là de l'action sur les 4 tables en même temps, ça part à tapis sur toute les tables,
1er table : j'ai straith, il à la quinte supérieur.
2 ème table : J'ai flush auteur dame, il a flush auteur as.
3 ème table : J'ai full, il a full supérieur.
4ème table : j'ai deux paires, il a brelan
Si vous n'êtes pas famillié avec le poker, ce n'est pas très grave, vous devez juste comprendre que je viens de me faire ratisser. Ce soir j'ai perdu environ 500 euros.
Je quitte ma chambre, vais à la salle de bain et me passe de l'eau sur le visage. C'est pas grave, on va oublier cette session et je vais faire un tour sur mon blog pour poster un nouveau billet.

Rhaaaaaaaa !!!!! Toute les photos de filles nues que j'avais posté on disparu ! Sacrilège ! Je ne cherche même pas à comprendre si un problème technique ne serait pas la cause de cette abomination ! Je clique sur l'icone message privé. Bingo, un modérateur m'explique qu'un peu à regret il a dût retirer toutes les photos que j'avais posté !

Je suis abattue, Assommée, la bonne soirée bien pourri ! Pas un bruit dans la maison. Je vais discrètement dans la salle a manger, ouvre le bar, prend une bouteille de vodka et un verre que je remplit de glaçon.
On est au milieu de la nuit, mon monde vient de s'écrouler alors je bois... Seule... Je trouve que ça fait femme fatale. Quand je serais plus vieille, c'est ce que j'aimerai être, une femme fatale. Une magnifique beauté glaciale au teint pâle, tout de noir vêtue, élégante quand elle boit son verre de martini.

Mais, là tout de suite, maintenant, j'ai plus l'air d'une pisseuse de 18 ans en bas de pyjama et en sweet shirt bourrée à la vodka.....

L'alcool ne pas même pas rendu malade, même pas endormie, nuit blanche. Je l'aimais bien mon petit blog, il avait du chien :-( .

Bon, il faut que j'exorcise mes démons, allez je me relance, nouvel hébergeur, je vais devoir me galérer à découvrir le fonctionnement de tout ça mais tant pis c'est partie !

Donc pour commencer vous devez savoir que j'aime bien Jennifer Aniston. Et non ! ne partez pas, ce n'est pas ce que vous croyez !

Je ne suis pas fan voir je ne m'intéresse pas à aux "oeuvres" de cette actrice. Par contre je la trouve jolie. Jennifer Aniston fait partie de ces actrices qui font très peu de photo de nue et que même les paparazzi ont du mal à photographier dans le plus simple appareil. J'adore lorsque ce genre d'actrice plutôt "pudique" fait une photo de nue. Pour moi c'est comme un cadeau qu'elle nous fait, comme si elle nous offrait sa virginité photographique. Moi sur cette photo je la trouve toute Mimi.

Donc sans plus attendre voici la première photo du deuxième blog de ma vie. Une photo de Jennifer Aniston à poil.